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Il est triste

On a tous des moments de “déprime”. Si cela dure ou si des idées suicidaires apparaissent, c’est qu’on est peut être déprimé. Il ne faut pas alors hésiter à aider votre proche à demander de l'aide à des professionnels de santé.

Des maux en mots

  • Mon proche se sent fatigué
  • Il ou elle manque d’énergie
  • Il ou elle a du mal à se concentrer
  • Les choses ne l’intéressent plus comme avant
  • Il ou elle dort mal
  • Il ou elle broie du noir
  • Il ou elle pense à la mort
  • Il ou elle se dévalorise
  • Il ou elle se sens ralenti
  • Il ou elle a du mal à penser, à prendre des décisions
  • Il ou elle n’arrive plus à travailler
  • Il ou elle n’a plus envie de voir ni ses amis ni ses proches
  • Il ou elle préfère rester seul

Que faire?

La parole libère et apaise, incitez votre proche à vous en parler
  • Inciter votre proche/votre enfant à vous en parler ou à en parler à une autre personne ressource : son médecin traitant, ou un médecin qui le connaît (gynecologue, pédiatre, …) qui pourra initier un bilan médical si nécessaire, ou à toute autre personne ressource (de la famille, encadrant sportif ou d’activité, éducateur, CPE etc).  
  • Engager la conversation sans faire de reproches. Lui dire que vous avez l’impression qu’il a changé et que vous vous inquiétez pour lui. Demander lui ce qu’il en pense.
  • L’informer qu’il existe aujourd’hui un numéro national pour la prévention du suicide 3114, qui permet de dialoguer avec des personnes spécifiquement formées à contacter en priorité en cas de risque suicidaire.
  • Prenez conseil auprès du médecin traitant ou d’un médecin qui le connaît.
  • Si les signes persistent, que votre proche a du mal à communiquer, qu’il a changé dans son mode de fonctionnement il est sans doute nécessaire d’avoir une évaluation pour déterminer s’il faut orienter votre jeune vers une prise en charge spécialisée.
  • Le questionnaire en ligne que vous trouverez sur ce site peut aider à une première évaluation.
  • Vous pouvez aussi demander conseil auprès d’un centre d’intervention précoce, d’un psychologue, d’un psychiatre, d’un centre médico-psychologique, d’une maison des adolescents, du service de santé universitaire.
  • N’oubliez pas, qu’en cas d’urgence, la plupart des services d’urgence des hôpitaux peuvent permettre de rencontrer un psychiatre ou qu’il existe certaines lignes téléphonique comme Psy Ile de France ou en cas de risque suicidaire le 3114.

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