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L'addiction

Temps de lecture : 6 min

Consommation et addiction sont deux choses différentes. Tout consommateur n’est évidemment pas addict !

La consommation d’un toxique peut avoir plusieurs origines : recherche de plaisir (plaisir, sensations intenses/inhabituelles), recherche de soulagement (tensions, souffrances personnelles (émotion, relation)) ou besoin d’un sentiment d’appartenance à un groupe social.

Le problème est que pour certain·es, ceci va évoluer vers la dépendance et donc une addiction.

L'addiction, c'est quoi ?

L’addiction, c’est :

  • L’impossibilité répétée de contrôler un comportement
  • La poursuite d’un comportement en dépit de la connaissance de ses conséquences négatives
  • Ce comportement vise à produire du plaisir ou à écarter une sensation de malaise interne

Ce qui signe l’addiction, ce n’est donc pas le produit en lui-même mais l’utilisation qu’en fait le sujet.

L’addiction est une maladie du cerveau.

Quand parle-t-on d’addiction ?

Il doit y avoir plusieurs critères pour parler d’addiction.

Critères de dépendance

  • “L’impossibilité de s’abstenir de consommer”
  • Dépendance psychique ou « craving » : besoin impérieux de consommer
  • Dépendance physique ou syndrome de sevrage

Critères de tolérance

  • Nécessité d’augmenter les doses pour continuer à ressentir les mêmes effets

Critères de perte de contrôle

  • Beaucoup de temps consacré, activités réduites au profit de l’objet d’addictionIncapacités de remplir des obligations importantes
  • Usage même lorsqu'il y a un risque physique et poursuite de la consommation malgré les dégâts physiques ou psychologiques
  • Problèmes personnels ou sociaux

L'usage de drogues à l'adolescence

L’expérimentation et parfois l’entrée dans des consommations régulières pour les principaux produits psychoactifs (tabac, alcool et cannabis) ont souvent lieu avant la majorité (18 ans). La plupart des usagers à l’âge adulte déclarent même une initiation durant les premières années de l’adolescence. Il convient donc d’observer avec attention les jeunes et leurs usages.

Les consommations des jeunes  à la fin de l'adolescence se différencient de celles de leurs aînés sur deux points principaux. Le cannabis est davantage consommé par les jeunes générations et les épisodes d'alcoolisations importantes sont beaucoup plus fréquents. 

L'expérimentation de drogues illicites autres que le cannabis demeure rare et dépasse rarement 3 %.

Le tabac

Idées reçues

  • « Le cancer du poumon c’est quand on est vieux »

Il existe des cas de cancer du poumon avant 40 ans.

  • « Faire du sport nettoie mes poumons »

Ceci n’a pas de lien.

  • « Je ne fume que quelques cigarettes par jour, y a pas de risque ! »

On pense à tort que fumer 4 cigarettes par jour ne présente pas de risque. C’est faux ! Une à 4 cigarettes par jour, c’est 3 fois plus de risques de mourir d’un infarctus.

  • « Fumer des “light”, c’est moins grave ! »

Malheureusement, la fumée des cigarettes dites « légères » est quasiment identique à celle des cigarettes dites « classiques ». De plus, le fumeur qui s’est habitué à une certaine dose de nicotine aura tendance à inhaler ses bouffées plus profondément. Cette compensation, ainsi que l’effet néfaste de leur fumée, démontrent que le danger des cigarettes « légères » est donc bien réel.

  • « Les roulées, c’est plus naturel »

L’étude de Wills a montré que dans 879.219 kilos de cigarettes, il y avait 1.803 kilos d’additifs (0,2%). Tandis que dans 366.036 kilos de tabac à rouler, on comptait 82.456 kilos d’additifs (22,5%)

  • « Je veux pas arrêter, j'ai peur de prendre du poids »

Des études ont montré qu’après un an de sevrage tabagique, des anciens fumeurs ont perdu du poids pour 16% d’entre eux et 37% ont pris entre 0 et 5kg. La prise de poids est donc inférieure à 5kg pour plus de la moitié des anciens fumeurs. En diffusant de la nicotine, les substituts nicotiniques permettent de diminuer les sensations de manque, évitant ainsi le grignotage qui viendrait compenser les envies de fumer.

  • « Fumer me calme »

L'énervement ressenti est le plus souvent dû au manque de nicotine. Après quelques semaines d'arrêt, il est noté un certain apaisement du fait de la délivrance de la dépendance nicotinique.

Quels sont les risques ?

Le tabac entraine un risque de cancer (ORL, pulmonaire, du sang, de l’estomac, du pancréas, du colon, des reins, de la vessie, du col de l’utérus) et de maladies (AVC, cécités, cataractes, infarctus, anévrisme de l’aorte, maladie pulmonaire chronique, etc…)
Il majore également les symptômes de dépression et d’anxiété.  

L'alcool

Pour votre santé, l'alcool c'est maximum 2 verres par jour et pas tous les jours !
Modes de consommations pathologiques :

  • Consommation quotidienne d’alcool
  • Binge drinking ou « biture express » ou encore « beuverie express », est un mode de consommation qui consiste à boire de l'alcool ponctuellement, le plus rapidement possible et en grandes quantités.

Plus on consomme tôt, plus on risque de développer une dépendance.

Quels sont les risques ?

A court terme :

  • Majore le risque de dépression et d’anxiété
  • Diminution de la vigilance
  • Désinhibition comportementale
  • Risques d’accident :
    • Accident de la route : 30 % des accidents mortels sont liés à l’alcool, soit 2200 décès par an.
    • Le risque d’accident augmente dès 0,20 g d’alcool dans le sang.
    • Il est multiplié par 2 à 0,5 g/l, 5 à 0,7 g/l, 10 à 0,8 g/l et 35 à 1,20 g/l. 

A long terme :

  • Cancers, notamment des voies aéro-digestives supérieures (8.000 décès par an)
  • Maladies du foie (cirrhose) (6.000 décès par an)
  • Maladie du système nerveux (3.000 décès par an)
  • Maladies de l’appareil circulatoire (3.000 décès par an)

Le cannabis

Le cannabis est composé de deux principaux éléments :

  • Le THC (Δ9 – tétrahydrocannabinol) : cannabinoïde le plus abondant et le plus présent dans la plante de cannabis. Il possède des propriétés psychoactives : il agit sur le cerveau en modifiant son activité. C’est la substance à l’origine de l’effet « parano » décrit par les consommateurs.
  • Le CBD (Cannabidiol) : Substance à l’origine de l’effet « relaxant, anxiolytique » décrit par les consommateurs.

D'où proviennent les effets du cannabis?

Les effets du THC proviennent de la liaison de cette substance avec des récepteurs cannabinoïdes présents dans l’organisme.

Variation des taux de THC

La concentration en THC du cannabis est variable. Les taux retrouvés à l’état naturel oscillent entre 0.5 et 5%. Au cours des 20 dernières années, des techniques sophistiquées de culture ont permis d’augmenter considérablement ces taux. Dans les années 1960-70, un « joint moyen » contenait 10 mg de THC, actuellement il peut en contenir jusqu'à 150 ! En 2018, une étude publiée dans la revue Addiction, montre que, dans le cas de la marijuana (cannabis à base de plantes), les concentrations de THC ont augmenté chaque année régulièrement, passant de 5% en 2006 à 10% en 2016. Pour la résine de cannabis (ou haschich), les concentrations en THC, qui étaient relativement stables de 2006 à 2011 (de 8% à 10%), ont rapidement augmenté de 2011 à 2016 (de 10% à 17%).

Actuellement, le taux moyen de THC serait de 10% pour la marijuana et de 19% pour le haschich. D'un point de vue médical, cela revient à une surdose massive ! 

Action du THC sur l'organisme

Le THC se fixe sur les récepteurs cannabinoïdes du cerveau. Il se fixe donc dans plusieurs régions cérébrales.

  • Cervelet : région impliquée dans la coordination et l’action
  • Amygdale : région impliquée dans la régulation des émotions
  • Hippocampe, cortex frontal : région impliquée dans la mémoire et la concentration

Les effets du cannabis

À court terme : 

  • Détente, euphorie, sensation de « planer »
  • Tristesse, anxiété pouvant aller jusqu’au « bad trip »
  • « Bad trip »: malaise, anxiété, dépersonnalisation/déréalisation, hallucinations, paranoïa
  • Troubles de la mémoire, de la concentration, de la coordination 

Ces effets peuvent durer quelques heures à quelques jours (selon la dose, la personne, le mode de consommation employé etc…).Le cannabis se stocke dans les graisses et en particulier dans le cerveau. Il est détectable jusqu’à 3 semaines dans les urines après consommation.

À long terme 

  • Perte de motivation (syndrome amotivationnel)
  • Troubles de la concentration et de la réflexion
  • Diminution du QI (perte de 8 points)
  • Perte de matière cérébrale (substance grise)
  • Complications physiques : troubles cardiovasculaires, troubles bronchiques et respiratoires, troubles du comportement alimentaire, accidents de la voie publique.

Cannabis et psychose

Plus la concentration en THC est élevée plus les effets psychoactifs sont importants, et les risques d'épisode psychotique aussi.
Le risque de déclencher un épisode psychotique est augmenté d’un facteur 4 si la consommation a débuté à l’adolescence.

Qui est plus vulnérable à développer une psychose ? 

Les adolescents, surtout si le début des consommations a lieu avant 15 ans.
Les adolescents sont les plus vulnérables car lors de cette période, le cerveau est en pleine maturation. Les éléments extérieurs agresseurs vont perturber cette maturation et avoir des impacts cérébraux significatifs pouvant aboutir à l’apparition de symptômes psychotiques.

Quel impact sur les troubles psychiques ?

Il a été établi que la dépression, quelle qu’en soit sa cause, est plus fréquente chez les « gros » consommateurs de cannabis.
La consommation de cannabis est associée chez l'adolescent à un risque nettement accru de développer une dépression ou un état anxieux par la suite.

Les personnes ayant des troubles psychiques et consommant du cannabis vont :

  • Augmenter les symptômes de la maladie : anxiété, « parano », hallucinations, etc.
  • Diminuer l’efficacité des traitements

La cocaïne

La cocaïne provient de la feuille de cocaïer.

Elle peut être :

  • Sniffée : « rail de coke »
  • Injectée ou fumée : crack, freebase, etc.

Effets immédiats de la cocaïne

  • Euphorie, toute puissance intellectuelle et physique
  • Puis pendant la descente : phase dépressive, anxieuse avec parfois des idées noires et suicidaires (amenant généralement à consommer d’autres produits)
  • Troubles cardiaques

Effets si consommations régulières de cocaïne

  • Troubles cardiovasculaires, nécrose des vaisseaux
  • Troubles psychiatriques : idées délirantes, « parano » etc…
  • Altération des fonctions intellectuelles (notamment de la mémoire)

L’héroïne, les opiacés

L’héroïne provient du pavot. Les opiacés sont les morphiniques.

Modes de consommation :

  • Injection
  • Fumée, snifée
  • Purpledrank, sirup…

Effets immédiats de l’héroïne ou des opiacés

  • Euphorie, extase
  • Diminution de l’angoisse

Effet chronique de l’héroïne ou des opiacés

  • Lune de miel courte, tolérance rapide
  • Risque d’infection
  • Etat de manque important, agitation, anxiété
  • Overdose: décès par arrêt respiratoire

Les hallucinogènes

Types de drogues hallucinogènes

  • LSD (diéthylamide de l’acide lysergique)
  • Acide
  • Champignons

Effets des drogues hallucinogènes

  • Risque de passage à l’acte violent
  • Idées délirantes et hallucinations avec adhésion au délire                
  • Modification de l’humeur (épisode de dépression, épisode maniaque)

Le Purple drank/Lean/Dirty Sprite

Le purple drank consiste à associer dans un soda, de la codéine, de la prométhiazine ou des antihistaminiques.
Les effets rapportés sont : « effets planants, proches de ceux du cannabis mais avec une détente plus accentuée, une sensation de ralentissement du rythme cardiaque », « sensations d’ivresse analogues aux effets de l’alcool »

Effets secondaires à court terme

  • Altération de la qualité du sommeil
  • Diarrhée et douleur abdominale
  • Grattage
  • Agitation
  • Convulsion, etc.

Effets secondaires à plus long terme

  • Accoutumance, dépendance
  • Risque d’overdose et de décès

Le gaz hilarant - Proto(xyde d'azode) - Ballon

Le gaz hilarant contient du protoxyde d’azote. Ce gaz aspiré est inodore et incolore. 
Les effets recherchés sont une sensation d’euphorie, d' « ivresse », des rires incontrôlables, des distorsions visuelles et auditives, une déréalisation, une désinhibition, une modification de la voix qui devient particulièrement grave durant quelques secondes.
Ces effets sont instantanés et disparaissent en 2 à 3 minutes.
Ce gaz est le plus souvent inhalé. Le gaz est transféré dans un ballon directement depuis le bec d’un siphon puis aspiré par la bouche.
Ce gaz a une action sur le cerveau importante et agit notamment sur le même circuit que les opioïdes (héroïne notamment). 

Effets indésirables à court terme

  • Nausées, vomissements
  • Crampes abdominales
  • Diarrhées
  • Céphalées, vertiges,
  • Acouphènes
  • Somnolence et légère baisse de la vigilance dans les 30 minutes qui suivent la prise

Effets indésirables à long terme

  • Confusion, désorientation
  • Faiblesse musculaire
  • Trouble de l’élocution et de la coordination

Risques à chaque prise

  • Risque de brûlure par le froid
  • Perte de connaissance pouvant être responsable de chute
  • Perte des réflexes de la toux et de la déglutition
  • Hypoxie avec risque de coma ou de décès.

Effets indésirables en cas d’usage régulier

  • Troubles des fonctions cognitives: mémoire, concentration, planification
  • Dépression ou état d’excitation intense
  • Trouble du rythme cardiaque et hypotension artérielle

Le poppers

Les poppers sont des préparations liquides très volatiles contenant des nitrites d'alkyle aliphatiques ou cycliques, conditionnées dans de petits flacons de 10 à 15 ml, parfaitement adaptés à l'usage dans un contexte festif.
Ils sont classés dans la famille des solvants mais aussi des hallucinogènes du fait des effets de type hallucinatoire que leur consommation est susceptible d’engendrer.

Les poppers sont en général inhalés.

Effets recherchés

  • Sensation d'euphorie, rires, relaxation des fibres musculaires entraînant une dilatation intense des vaisseaux. Effets d’une durée de 2 min.
  • Optimisation des performances sexuelles : facilitation de l’érection, retard éjaculation, accroissement des sensations orgasmiques

Effets indésirables

  • Troubles digestifs fréquents: nausées, vomissements, et céphalées
  • Hypotension artérielle et trouble du rythme cardiaque, collapsus cardio-vasculaire pouvant aller jusqu’au décès
  • Anémie (baisse importante des globules rouges)
  • Perte de l’acuité visuelle 
  • Les prises répétées peuvent, en particulier, être à l'origine de lésions nasales ou du visage (croûtes jaunâtres caractéristiques) ou encore de lésions au niveau du foie

Le GHB/GBL

Le GHB (gamma-hydroxybutyrate) peut être utilisé de façon récréative mais plus connu comme la « drogue du violeur » car incolore et inodore. Le GBL (gamma butyrolactone) est un solvant industriel précurseur du GHB. Il a les mêmes effets que GHB mais a une absorption plus rapide.
Les effets du GHB apparaissent au bout de 30 minutes (15min pour GBL) et durent de 2 heures à 4 heures (1 à 2h pour GBL):

  • À faibles doses : effet relaxant, désinhibant et euphorisant.
  • À fortes doses : sédation et peut provoquer une dépression respiratoire ainsi qu’une une perte de conscience qui peut aller jusqu’à un coma profond  voire au décès.

Il est utilisé dans des contextes festifs ou sexuels appelés chemsex (sexe sous drogues). Dans les contextes sexuels, la substance est utilisée pour stimuler le désir sexuel de par l’amplification des sensations physiques et tactiles pour rechercher une endurance et une performance sexuelle. 

Effets indésirables

  • Trouble de l’usage avec dépendance: fort potentiel addictif, avec tolérance accrue, besoin de consommer et syndrome de sevrage (similaire à ceux observés lors d’un sevrage des benzodiazépines ou de l’alcool (hypertension artérielle, insomnie, anxiété, tremblements, augmentation du rythme cardiaque, et parfois convulsions, hallucinations visuelles et auditives)
  • Troubles psychiatriques si usage régulier :  états psychotiques aigus, dépression
  • Coma voir décès

Le traitement des addictions

EN PARLER!

Une prise en charge spécialisée est conseillée auprès d’un addictologue (médecin spécialisé dans les addictions). En fonction du type de toxique et de la sévérité de l’addiction, la prise en charge pourra associer un traitement médicamenteux, une prise en charge psychologique et un accompagnement social.

Vous pouvez consulter un addictologue dans un CSAPA (Centre de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie) si vous êtes majeur ou dans un CJS (Consultation jeune consommateur) si vous êtes mineurs.  Les familles peuvent également consulter ces structures.

Ressources

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Site internet

MAAD Digital

La MILDECA et l’Inserm en collaboration avec l'association l'Arbre des connaissances, ont lancé www.maad-digital.fr, un site web d’information scientifique sur les addictions construit avec et pour les jeunes.
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Addict'aide, le village des addictions

Alors que les addictions constituent un phénomène et un enjeu de société, le Fonds Addict’Aide est né de la volonté d’apporter des réponses complémentaires à une problématique et des souffrances insuffisamment prises en …
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Site internet

PsyCom - Les troubles addictifs

PsyCOM est une ressource publique nationale qui rassemble l'information sur les troubles psychiques, les soins psychiatriques et tout autre sujet relatif à la santé mentale. Elle aborde ici les troubles addictifs.
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Drogues info service

Drogues info service est le service national d’aide à distance en matière de drogues et de dépendances. Il a également en charge le recensement, la mise à jour et la mise à disposition du public de l’annuaire national …
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Site internet

Alcool Info Service

Une information extrêmemnt complète sur l'alcool et les effets sur la santé proposée dans 2 espaces disctincts : espace général et espace jeune. À consulter sans modération ! La ligne d'écoute est joignable au 0980 980 …
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Stop alcool

Site internet suisse d'aides et conseils pour les consommateurs d'alcool et leur entourage
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Stop cannabis

Site internet suisse d'aides et de conseils pour les consommateurs de cannabis et leur entourage
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OFDT - Jeunes & Addiction

L’expérimentation et parfois l’entrée dans des consommations régulières pour les principaux produits psychoactifs (tabac, alcool et cannabis) ont souvent lieu avant la majorité (18 ans). La plupart des usagers à l’âge …
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Podcast

Les Maux Bleus - la prison de verre

Les Maux Bleus est un podcast dédié à la santé mentale qui aborde les différents aspects des troubles mentaux à travers les histoires inspirantes de rétablissement de personnes qui y sont confrontées, directement ou …
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Dossier INSERM - Addictions, du plaisir à la dépendance

Dossier réalisé en collaboration avec Amine Benyamina, unité 1178 Inserm/université Paris Sud, hôpital universitaire Paul-Brousse, Centre d’enseignement, de recherche et de traitement des addictions, Villejuif.
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MILDECA - Mission Interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives

Créée en 1982, la mission permanente de lutte contre la toxicomanie, devenue la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA), répond à la nécessité de coordonner une …
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OFDT - Observatoire français des drogues et des tendances addictives

Organisme public, l'OFDT a pour objet d'éclairer les pouvoirs publics, les professionnels du champ et le grand public sur le phénomène des drogues et des addictions et de contribuer à son suivi au niveau européen. Il …
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Joueurs Info Service

Une information complète sur l'addiction et les effets du jeux sur la santé à consulter sans modération !
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Encore 1 et j'arrête !

Si fumer une cigarette ou boire un verre en soirée, jouer au loto les vendredi 13 ou se connecter sur les réseaux sociaux tout les jours ne semblent pas être nocif, une consommation régulière et excessive peut être le …
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Site internet

NIDA for teens

NIDA for teens est Le site internet de référence en matière de politique de santé publique américaine dédié à la prévention des addictions
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Brochures

Ce que les gens croient savoir sur l'alcoolisme et les toxicomanies

Mythes et réalités à l'usage des responsables de programmes de prévention, de traitement et de soutien dans le domaine des toxicomanies. Une brochure proposée par l'Observatoire Mondial de la Santé en 2004
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